La loi de la conservation de la masse en tant qu置ne loi indépendante est prouvée par une grandeur énorme de données expérimentales. Tantôt des particules élémentaires ne changent point et seulement leur énergie cinétique et l'énergie du champ électromanétique les accompagnant, tantôt elles se transforment entièrement aux autres particules. Le photon est aussi une particule qui peut être caractérisée par la vitesse et la fréquence ou la longueur d'onde. Les transformations volontaires de la masse en énergie ne sont pas possibles.
Les questions concernant les particules avec la masse égal à zéro au repos restent dans la TRR. Premièrement, le passage strict au cas ne provient pas des formules relativistes de l'énergie et de l'impulsion. Comment par exemple peut apparaître n'importe quelle la continuité des fréquences lors de ce passage? Deuxièmement si nous avons une chaîne linéaire de paires annihilant et naissant successivement ou si nous recevons de à l'aide de la réflexion , où disparaissent l'énergie gravitationnelle (le champ), la courbure de l'espace (et où est leur centre locale lors de l'annihilation)? La question de la masse d置n photon au repos dans l'interprétation contemporaine est en général absurde. Le photon, étant une certaine particule, est caractérisé par la fréquence définie . Dans l'état de repos () elle ne transformerait même pas en autre particule, le photon tout simplement n'existerait plus. C'est pourquoi le concept de la masse d置n photon au repos n'existe pas (comme et le concept de l'énergie d置n photon au repos). D'autre coté, on peut déterminer non seulement l'énergie et l'impulsion, mais aussi la masse pour un photon réel. Dans le manuel [26] l'auteur a fait la fausse conclusion de l'impossibilité de l'existence des particules avec la masse de repos égal à zéro dans la physique classique soi disant parce qu誕vec n'importe quelle force doit provoquer l'accélération infini. Premièrement, ce ne sont pas toutes les forces, qui peuvent agir sur un photon avec . Par exemple lors de l'action de la force de gravité la masse égal à zéro se réduira correctement et l'accélération restera finale. Deuxièmement, comme la physique classique, la TRR n'a pas de limites importantes de la grandeur de l'accélération. Cela permet, par exemple, de considérer les collisions des particules et la réflexion de la lumière comme des processus instantanes. Troisièmement, pourquoi le choix de la TRR est-il meilleur, si sous l'influence de la force l'accélération de la lumière selon les relativistes, reste égale à zéro? Si on fait appel à l'intuition, on trouvera dans la TRR une masse infini du photon.
Le champ (peut-être non seulement électromagnétique?), aussi comme le milieu matériel, capable de transmettre une énergie et d誕voir une impulsion, peut aussi avoir une masse (la conception pareille n'est pas intérieurement contradictoire et seule l'expérience peut répondre si cette possibilité sera réalisée). C'est pourquoi il n'y a rien d'étonnant même pour la physique classique dans le fait qu'un certain champ est capable de transmettre la masse. Dans ce cas le champ doit participer à la loi classique de la conservation de la masse et alors la masse sera gardé dans toutes les réactions. Le champ doit participer aux lois de la conservation de l'impulsion et de l'énergie et alors on pourra se passer des changements de la partie classique de ces lois de la conservation, se rapportant aux particules. C'est pourquoi il n'y a rien d'étonnant dans la physique classique dans les faits que la masse d'un atome excité peut surpasser celui d'un atome non excité ou qu'un corps avec plus d'énergie peut avoir une masse plus considérable (à propos, il est encore impossible de le vérifier avec l'exactitude contemporaine des mesurages). Cette masse complémentaire est concentré dans le champ, qui fait des particules osciller, se mouvoir sur des trajectoires sans forces, rebondir du mur tenant des particules. Si on suppose que la nature des particules et de leurs collisions soient purement électromagnétiques on pourrait utiliser les formules relativistes de l'énergie-impulsion dans le vide, mais seulement du point de vue des liens uniformes des grandeurs. Il ne faut pas oublier que dans ce cas l'énergie et l'impulsion ne caractérisent que le processus d置ne collision, parce qu' en fait ils sont inscrits en prenant en compte l'énergie et l'impulsion du champ (qui n'est évidemment pas enregistré et mis à part).