Très souvent dans la TRR on utilise le passage à un système de référence qui "se déplace d'une manière convenable" pour la "simplification" de la description des collisions. Pourtant ce procédé n'a aucun fondement physique et cela n'est pas lié avec le principe de la relativité pour les systèmes closes identiques. Si on fait les expériences relativistes sur des faisceaux des particules artificiels, les sources (les accélérations) et des appareils d'enregistrement sont attachés à la Terre et notre imagination ne les fera pas voler avec un observateur en mouvement. Si un certain processus est étudié dans la chambre de Wilson, les pistes des particules sont attachées au milieu (c'est-à-dire à la chambre de Wilson), pas à l'observateur volant. Par exemple dans la physique classique l'angle entre les pistes des particules ne dépend pas des mouvement de l'observateur. En même temps l'angle entre les vitesses des particules, laissant les pistes mentionnées peut dépendre de la vitesse du mouvement de l'observateur. Dans la physique relativiste les angles entre les trajectoires et les vitesses des particules aussi dépendent de la vitesse de l'observateur selon les lois différentes. C'est pourquoi le passage au nouveau système de référence, quoi qu'il semble si vraisemblable du point de vue de la TRR, peut fortement déformer l'interprétation de la résolution, c'est-à-dire, n'importe quel processus ne doit être considéré que dans le système de l'observateur réel (de l'appareil enregistreur).
La considération du processus de la collision des deux particules
(ponctuelles par principe dans la TRR) comme un mouvement plat est aussi une des
déformations de la réalité. En effet, même lors de l'étude des caractéristiques
statistiques des particules ponctuelles un appareil de mesure ne peut pas (pour
le rapprochement au problème idéal du mouvement des deux points) se mouvoir et
tourner avec chaque paire de particules d'une manière individuelle (et
différente!), car sa position est fixée. En outre, les particules ponctuelles
doivent être considérées comme un cas limite des particules réelles des
dimensions finales, sinon on ne pourrait observer ni des collisions directes, ni
des collisions des atomes et des molécules, les protons n'auraient pas de
structures etc. Et dans ce cas les collisions des particules sont par principe
en trois dimensions (la possibilité du mouvement plat est égale à zéro).
Supposons, par exemple, que deux bulles pareilles (1 et 2) se rapprochent l'une
de l'autre sur des lignes droites croisées dans l'espace (la distance minimale
entre elles est mineure par rapport au diamètre de la bulle) avant une
collision. Depuis le début de l'expérience nous ne pouvons pas tracer un plan à
travers les droites en question. Néanmoins, prenons le milieu de la distance
minimale entre les droites croisées (les trajectoires avant la collision) et
traçons des droites d'intersection parallèles aux trajectoires en question.
Maintenant supposons que l'unique plan traverse les droites croisées
(Figure 4.8).
Et les centres des bulles se déplacent parallèlement à ce plan avant une
collision: le centre de la première bulle est un peu au-dessus du plan et le
centre de la seconde bulle est au-dessous du plan. Après la collision les bulles
voleront sur des autres droites croisées. Et de nouveau il est impossible de
tracer un plan à travers ces deux lignes droites. Répétons la procédure du
transfert parallèle des lignes droites, sur lesquelles passent les trajectoires
du mouvement après la collision, jusqu'au intersection au milieu. Traçons un
plan
à travers les lignes droites croisées (les centres des bulles de nouveau se
mouvrons des cotés différents de ce plan). Pourtant "le plan avant la collision"
ne coïncide pas avec "le plan après la collision", mais le traverse sous un
certain angle.
Le second procédé: traçons un plan à travers la trajectoire du
mouvement de la première particule (les lignes droites croisées de son mouvement
avant et après la collision), et le second plan
à travers la trajectoire
analogique du mouvement de la seconde particule. Pourtant, ces deux plans se
croisent aussi sous un certain angle (Figure 4.9).
Que provient du caractère tridimensionnel du mouvement? Premièrement, pas
tous les lien sont linéaires. Par exemple, même lors du mouvement linéaire
uniforme des corps sur des lignes croisées, la distance entre les corps se
présente comme fonction non linéaire du temps. Deuxièmement, notons les lois
classiques de la conservation de l'impulsion (en projections) et de l'énergie:
![]() |
![]() |
![]() |
(4.3) |
![]() |
![]() |
![]() |
(4.4) |
![]() |
![]() |
![]() |
(4.5) |
![]() |
![]() |
![]() |
(4.6) |
Du système (4.3-4.6) nous voyons qu'il n'existe que quatre équations pour six
grandeurs inconnues (). Donc, cela suppose que dans la résolution il
y a deux paramètres indéterminés. Si on considère le mouvement comme plan
(enlever l'équation (4.5)), on aura trois équations pour les quatre grandeurs
inconnues qui restent. En conséquence lors de la comparaison des résolutions de
la TRR avec celles de la physique classique on fait la substitution des
résolutions et il en reste un seul paramètre indéterminé (d'habitude
c'est l'angle de la dispersion). Cette fraude amène à l'interprétation fausse
des données de l'expérience surtout lors de la restitution des grandeurs qui
manquent. Par exemple, dans le livre [33] on analyse deux pistes de la détente
des particules de la même masse et de la même charge (précisément du même
rapport
?) à l'angle de la détente mineur à
d'où on tire conclusion de
l'inexqctitude de la mécanique classique. Notons la formule pour l'angle
entre
les trajectoires des particules dispersantes:
![]() |
(4.7) |
Choisissons l'axe d'une manière que
. Traduisons maintenant une
variable
de l'équation (4.3), traduisons la variable
de l'équation
(4.4) et traduisons la variable
de l'équation (4.6) et
traduisons la variable
de l'équation (4.6) (et la condition
limite le domaine des valeurs possibles de toutes les variantes). Mettons toutes
les grandeurs nommées ci-dessus dans l'équation (4.7). Nous aurons comme
résultat la dépendance deux-paramètrique des
et
, que nous
omettons à cause de son grand volume. En utilisant un logiciel graphique on
s'assure qu'avec les grandeurs en question
nous recevons une certaine surface, ressemblant à la partie intérieure
d'un cylindre, c'est-à-dire la grandeur
change dans de grandes limites.
Par exemple, on peut facilement vérifier que les valeurs
répondent à toutes les lois classiques de la conservation (4.3-4.6). Pour ces
valeurs recevons , c'est-à-dire
. Remarquons: si les vitesses sont exprimées en unités de la vitesse de
la lumière la vitesse minimale est tout à fait réelle pour le mouvement des
électrons internes dans les atomes, en commencent par
. Et dans le cas
général personne n'a vu des électrons au repos dans les atomes! Dans la physique
classique l'angle égal à 90
est reçu sans doute lors de la collision avec
une particule au repos dans le système de l'appareil enregistreur (mais où
trouver une particule pareille?). Pourtant, l'affirmation contraire du fait
qu'une des particules était au repos (la probabilité mathématique de cette
situation est très petite) ne provient pas de l'angle de la dispersion observé
égal à 90
. Donc, le problème inverse de la restitution des données, qui manquent
est une procédure ambiguë et dans la physique classique et dans la physique
relativiste (il existe une grandeur interminable de résolutions cohérentes et
différentes).
Pour la vérification expérimentale plus stricte des lois de la conservation lors des collisions (sans dépendance de la théorie) il faut étudier les collisions des particules dans le vide pour les faisceaux étroits mono-énergétiques des particules connues avec les angles des collisions donnés. L'étude complète du processus de la collision doit inclure la vérification de la balance par moyen des énergies des particules (pour chaque angle de dispersion dans l'espace), la vérification de la balance des impulsions des particules, la vérification de la balance de la grandeur commune des particules dans des faisceaux avant et après la collision (la probabilité de la dispersion), la vérification de la balance des émissions surgissant par les énergies et les directions. Il existe encore deux questions auxquelles on prête l'attention (encore deux questions vagues): dépend la dispersion de l'orientation mutuelle des moments propres de la rotation des particules en collision? Les moments propres de la rotation lors des collisions, changent-ils? La physique classique donne la réponse affirmative à ces deux questions (mais du point de vue quantitatif elle dépend beaucoup de la "structure" des bulles).
L'auteur n'a jamais rencontré l'analyse complète d'un processus de la collision dans la TRR qui corresponde à tous les principes mentionnés. Cela n'amène pas à la conclusion de l'inexactitude (dans les cadres les erreurs expérimentales) des lois relativistes courantes de la conservation dans n'importe quel processus de la collision (bien que pour un grand nombre de cas cela puisse être vrai). L'auteur n'affirme qu'il n'existe même pas d'exemples isolés de l'affirmation absolue des lois relativistes de la collision (sans parler de la confirmation globale, qui est très publicitaire).
Ayant une attitude principalement stricte, l'application des lois relativistes de la conservation au processus de la collision dans la physique subnucléaire semble douteuse. Pourront-elles être gardées sans dépendance de la charge des particules en collision, des angles de la collision et des angles de la dispersion? C'est que lors du processus de la collision les particules chargées reçoivent une accélération. En conséquence, selon les idées contemporaines (y compris celles de la TRR) une certaine émission (champ) doit être toujours observée. Faudrait-il agir comme les étudiants, épiant la réponse d'un problème: si un appareil a enregistré un quantum gamma ("a pris la main dans le sac"), il faut l'absolument le prendre en compte "à l'air sage". Et dans les autres cas croire "à l'air sage" en justesse des formules de la TRR? En quoi consiste "la force prédictive" de la TRR? En réalité les lois de la conservation doivent être absolument complétées par les membres, prenant en compte l'énergie et l'impulsion du champ.
En général, le seul cas, quand la discussion des lois relativistes de la
conservation lors des "collision" est valable, est l'interaction des particules
par les forces d'origine électromagnétiques (la force de Lorentz). Dans les
autres cas la réalisation des lois relativistes de la conservation est une
hypothèse non vérifiée (des sphères lumineux de la TRR n'ont aucun rapport avec
les forces d'origine non électromagnétique). Pourtant les interactions
électromagnétiques n'exigent aucune des idées de la TRR pour la déduction des
lois relatives de la conservation. On sait que les équations du mouvement aux
conditions initiales déterminent complètement toutes les caractéristiques du
mouvement, y compris des intégrales du mouvement. L'énergie peut servir de cette
intégrale du mouvement (pas toujours). De l'équation du mouvement provient
![]() |
(4.8) |
En connaissant la expression de l'impulsion (c'est une grandeur qui entre
dans l'équation expérimentale du mouvement (4.8)), par exemple dans le cas
classique
conformément. A condition de l'égalité des forces de l'action et de la
réaction (la troisième loi de Newton, l'hypothèse des forces centrales) on
reçoit: . Alors de l'équation du mouvement (4.8) on peut
déduire la loi de la conservation de l'impulsion (c'est une grandeur qui entre
dans l'équation expérimentale du mouvement (4.8)): de
recevons
Cependant avec les forces magnétiques même la loi relativiste de la conservation de l'impulsion des
particules dans le cas commun peut être troublée. Etant donné que la majorité de
particules, et même la plupart des particules neutres, ont le moment magnétique
(c'est-à-dire elles ne représentent pas "des charges ponctuelles idéales de la
TRR", mais des rotateurs magnétiques chargés de dimensions finales),
l'application de la loi relativiste de la conservation de l'impulsion dans la
physique nucléaire et subnucléaire sans le compte évident de l'impulsion du
champ n'est pas valable. Par conséquent nous arrivons de nouveau à la nécessité
de l'enregistrement visible de l'impulsion du champ et, comme suite, de son
énergie lors des collisions. (Peut-être, cela pourra régler la physique
nucléaire et subnucléaire et réduire le nombre de particules-fantômes?)
Le compte de la force de la réaction de l'émission provoque l'infraction des lois de la conservation de l'énergie et de l'impulsion, déposées dans la TRR. S’il faut renoncer à l’enregistrement de cette force au cours des collisions des particules? Mais c'est que cette force y doit être la plus important (il y a de grands champs suite au rapprochement des particules dures (haut-énergiques) et de grandes accélérations variables).