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Le spin et la précession de Thomas

Les relativistes toujours mettent en relief que la mécanique de Newton ne décrit pas "un-je-ne-sais-quoi" par rapport à la TRR. Par exemple dans le livre [33] est analysé ce qu'on appelle la précession de Thomas (l'effet du tournant d'une barre dans la TRR comme une manifestation de "la relativité de l'époque actuelle"). L'auteur [33] affirme que dans la mécanique de Newton le gyroscope garde toujours son orientation. Pourtant de ce que l'on connaît de la mécanique quantique, le moment du spin d'un électron est toujours dirigé tantôt en, tantôt contre la direction du moment orbital, c'est-à-dire dans ce cas il est perpendiculaire à la surface de l'orbite (et à la vitesse de l'électron!). Et la mécanique de Newton et la TRR dans ce cas commun gardent la direction du gyroscope perpendiculaire à la surface de l'orbite. C'est pourquoi les directions changeant du spin, montrées dans le livre [33] n'ont rien de commun avec la réalité (Figure 4.7).

Figure 4.7: La précession de Thomas dans la TRR.
\begin{figure}\begin{center}\epsfxsize =10.0truecm
\epsfbox{dopfig22.eps}\end{center}\end{figure}

Si on suppose l'orientation inclinée du spin d'un électron et se souvient qu'il ne s'agit pas tout simplement du gyroscope (une bulles tournantes), mais d’une particule chargée avec le moment magnétique, dans le champ magnétique du noyau chargé sous l'influence des forces la précession du spin d'un électron sera visible et pourra être décrite par le moyen classique (autant que les objets du micro-univers permettent le faire). Pour la description classique de ce phénomène (sans interprétations de la TRR) il faut connaître tous les paramètres de l'atome, y compris les orientations des spins et des moments). De plus, dans le cas classique même avec l'orientation du spin de l'électron perpendiculaire à l'orbite, la précession est possible, si le moment du noyau n'est pas perpendiculaire à l'orbite (et le noyau lui-même peut "précessionner"). La coordination de tous les mouvements, y compris toutes les orbites, toutes les récessions, le déplacement de tous les périhélies, font partie de l'objectif réel de la multitude des corps.

L'utilisation contemporaine de la notion du spin des particules dans la TRR n’est pas intérieurement coordonnée. Tout est là, que lors des collisions les particules se meuvent l'une par rapport à une autre et de plus, change leur mouvement, mais dans le système mouvant le moment de la grandeur du mouvement (et orbital et le spin) doit différer de la grandeur dans le système au repos selon la TRR. Comment le spin peut-il rester invariant et faire partie des égalités strictes numériques (des lois de la conservation relativistes)?

En outre, la précession de Thomas en tant qu'un effet cinématique de la TRR est intérieurement contradictoire (à voir le Chapitre 1), parce que le processus de la rotation sort des cadres des systèmes d’inertie de la TRR (du mouvement rectiligne régulière).


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Sergey N. Artekha