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Les remarques supplémentaires

La remarque méthodique est suivante. La notion du temps devient limitée si on utilise la méthode de l’Einstein pour le synchroniser. Premièrement, de deux indépendantes grandeurs variables - les coordonnées et le temps - seulement une des variables réste indépendante, tandis que l’autre est lié avec l’état de mouvement (subjectivisme) et les propriétés de la vitesse de la lumière (pourquoi pas avec la vitesse du son ou de la Terre, par exemple etc.). Deuxièmement, comme pour la détermination de la vitesse il faut la détermination indépendante des coordonnées et du temps, la vitesse de la lumière elle - même devient une grandeur indéterminable (immesurable, postulée).

Comme les relativistes aiment s'occuper des inventions ne travaillant pas! Une de telles "Grandes" inventions fainéantes de la théorie de la relativité sont les horloges lumineux (en 100 ans personne n'essayait de construire le modèle de pré-production et n'essaiera le faire jamais!). Et c'est pas parce qu'il est impossible de créer les miroirs parfaitement plats, parfaitement parallèles, reflétant parfaitement. Cela se passe parce que nous ne puissions pas observer la "TIC-TAC" latéralement, comme elle est décrite par le SRT. Une telle horloge "travaille" jusqu'au premier "TIC" et cesse d'être "identique", puisque un photon devrait finalement être réagi au moment d'enregistrement "de TIC". Néanmoins, nous reviendrons à "nos relativistes". Pour la démonstration du ralentissement du temps on utilise souvent les horloges lumineux [35] (Figure 1.10).

Figure 1.10: Les horloges lumineux.
\begin{figure}\begin{center}\epsfxsize =10.5truecm
\epsfbox{dopfig4.eps}\end{center}\end{figure}

Cependant, exactement comme ça on peut examiner une particule qui se reflète constamment avec la vitesse $u\ll c$ (ou l’onde sonore est mieux) et recevoir le ralentissement arbitraire du temps $\tau_0/\sqrt{1-v^2/u^2}$. On sait que les composants orthogonaux de la vitesse peuvent être décrits indépendamment: le mouvement horisantal avec la vitesse ${\bf v}$ relativement à l’appareil ne se fait pas sentir sur les oscillations verticales d’une particule avec la même vitesse ${\bf u}$ qu'avant. On analisera la question de la justification expérimentale du postulat de la constance de la vitesse de la lumière dans le Chapitre 3.

Le ralentissement du temps dans la théorie de la relativité restreinte n’est pas qu’un effet apparent. Rappelons que pour le son la durée de le retentissement de trompette $\Delta t$ dépend de la vitesse du récepteur relativement à une source (la trompette), mais personne n’en tire pas la conclusion du ralentissement du temps. C'est que "la décision" de l’observateur de se mouvoir avec telle ou telle vitesse n’est absolument pas liée avec les processus du rayonnement de son (et avec les autres processus dans la trompette). Supposons qu’un chanteur continuellement chantera une chanson dans l’atmosphère en état de repos, et son frère jumeau se déplacera du chanteur presque à la vitesse du son $v_s$: $\alpha_1\equiv v/v_s\approx 1$, et puis se déplacera vers le chanteur (avec la même valeur numérique $\alpha_1$). Quoique la chanson sera altérée mais personne ne fixa que chanteur vieillit plus vite. Supposons que nous allons moduler la lumière par ce même chanson à la poursuite du frère jumeau, qui partit à une fusée presque avec la vitesse de la lumière, mais avec la même valeur numérique $\alpha_2\equiv v/c =\alpha_1\approx 1$. Maintenent le frère-jumeau écoutera la même chanson altérée. Pourquoi la situation doit changer et le frère-casanier doit vieillir? Et si un certain organisme vivant se caractérisera par une fréquence de rayonnement, le distinguant d’un organisme mort, est-il possible qu’à cause de votre mouvement (à cause de l’effet de Doppler) d’abord vous constater la mort d’un objet, et puis sa ressuscitation? Ou faut-il postuler le changement de caractéristiques objectives de l’objet, qui n’est pas lié avec vous en cause?

Faisons les remarques au sujet de la méthode de la synchronisation du temps de l’Einstein. La transitivité de la synchronisation du temps selon la méthode de l’Einstein a lieu pour le cas trivial de trois points en état de repos réciproque. Si les points (qui ne sont pas sur la même droite) appartiennent à de systèmes déplacant les uns relativement aux autres dans les différentes directions (pas parallèlement), alors la procédure de la synchronisation peut devenir indéterminé: pour lequel moment du temps faut-il croire que les horloges sont synchronisées? Pour le commencement de la procédure, sa fin ou le moment intermédiaire? Même pour les points situés sur la même droite la méthode de l’Einstein se base sur le règlement (improuvable en expériences) de l’égalité de la vitesse de la lumière dans une direction et celle qui est opposée. En fait, la synchronisation se trouve ou bien le processus à demi calculable, ou bien la processus polyitératif, comme la synchronisation passe seulement pour deux points choisis. La méthode de la synchronisation à l’aide d’une source éloignée sur la perpendiculaire du milieu est privée de ces défauts [48]. Elle permet expérimentalement (et pas en calculant), sans les hypothèses supplémentaires, de synchroniser le temps avec l’exactitude choisie d’avance le long de tout le segment (même sur une partie plat).

Passons maintenent aux unités de mesures de temps. Assurément, on peut décrire n’importe quelles grandeurs habituelles en différentes unités de mesure et en échelles différentes (régulières ou pas régulières, par exemple en échelle logarithmique) pour un phénomène isolé en cadre d’un quelque modèle mathématique. En principe cela est déterminé par la commodité da la description pour une modèle donnée, bien qu’en cas de la généralisation - par la possibilité d’utilisation de mêmes grandeurs pour les autres phénomènes physiques et modèles mathématiques (la jonction de domaines différentes). Cependant, le sarcasme de Teilor et de Uiller [33] à propos d’«unités sacrées» est complétement inadéquat. Bien sûr, on peut introduire le coefficient de transforme pour le temps en métres. Mais en ce cas il ne doit pas obligatoirement être la vitesse de lumière, mais peut être la vitesse d’un piéton. Les deux vitesses nommées n'ont pareillement rien à voir avec les phénomènes sonores, thermiques, avec la hydrodynamique et avec beaucoup d’autres domaines de la physiques. En général on peut exprimer toutes les grandeurs en mètres: la masse, la charge etc. Cependant tous ses mètres différents

1) ne s’ additionnent pas,

2) ne sont pas mutuellement remplaçables,

3) apparissent très rarement dans de combinations communes

4) pour les phénomènes différents la même combination n’est bon à rien. (Par exemple l’intervalle se rapporte seulement à la loi de la propagation de la lumière dans le vide). On peut faire que toutes les grandeurs soient sans dimension (et vous deverez observer toutes les grandeurs physiques séparement). Mais à tout événement la physique ne deviendra pas les mathématiques. La physique n’apprend pas tous les "mondes" combinatoires d’illusion des équations, mais seulement celui de leur quantité relativement petite, qui se réalise dans la nature (les questions fondamentales de la physique: quelles sont les corrélations qui se réalisent dans la nature, pourquoi et quelles sont les conséquences qui en suivent).


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Sergey N. Artekha