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Les remarques complémentaires

La possibilité du mouvement non-plan même pour les deux corps réels, décrite ci-dessus, est liée avec le problème du déplacement du périhélie de Mercure (ce qui n'a pas été analysé par personne).

Faisons une remarque auxiliaire. Lors de la déduction de la formule relativiste de l'impulsion, on prouve le fait que l'impulsion doit être dirigée selon la vitesse, sinon elle sera indéterminée. Pourtant il n'y a aucun rigueur dans ces réflexions concernent une seule particule, car même dans le système où ${\bf v}=0$ la direction de l'impulsion est aussi indéterminée. La formule classique de l'impulsion provient du caractère euclidien (de l'isotropie, de l'homogénéité) de l'espace et de l'invariance de la masse. On peut laisser la formule classique et de la direction et de module de l’impulsion d'une particule selon le principe de la nécessité minimale. Alors toutes les changements relativistes se manifesteront dans la modification de la formule de l'énergie. Tout simplement il ne faut pas oublier que le champ des particules chargées peut aussi avoir une énergie et une impulsion qui ne soient pas égales à zéro. Seule la collision des particules neutres, privées des degrés intérieurs de la liberté, peuvent être strictement élastiques.

Encore une remarque auxiliaire. Dans le livre [33] (le problème 65 "L'impulsion sans masse") une plate-forme à roues est analysée. Sur un de ses coins se trouve un moteur avec un accumulateur, qui fait tourner une petite roue à pelles dans l'eau à un autre coin de la plate-forme par moyen de la transmission par courroies (à travers toute la plate-forme). Finalement l'énergie électrique de l'accumulateur d'un coin de la plate-forme se transforme en énergie thermique de l'eau sur un autre coin. De nouveau il s'agit de la perte d'objectivité (une situation subjective): pour le sauvetage de la TRR des observateurs différents doivent faire des conclusions affectées différentes des voies et des vitesses du transfert de l'énergie (de la masse). Par exemple, selon la TRR un observateur, qui se trouve sue la plate-forme doit attribuer le transfert de l'énergie (de la masse) à la transmission par courroies. Et si nous ne lui donnons l'accès qu'à deux petites parties de la courroie, comment et en quoi ce transfert de la masse pourra être confirmé expérimentalement? L'approche de la physique classique est plus stricte: si un corps agit sur un autre, le travail fait se définit par le produit de la force agissante et du déplacement relatif: $A=\int {\bf F}d{\bf r}$ ou $A=\int {\bf Fv}dt$, où ${\bf v}$ est une vitesse relative. Par exemple, sous l'action de la force de frottement un corps, qui était en mouvement, s'arrête. L'énergie cinétique du corps par rapport à la surface sera égale de module au travail de la force de frottement et à la grandeur de la chaleur émue. Ces grandeurs sont invariantes (ne dépendent pas du système de référence).

Faisons maintenant une remarque méthodique sur la confirmation des formules relativistes. La précision des expériences dans la physique du micro-univers n'est pas d'habitude haute dans une mesure isolée. Pourtant on l'augmente artificiellement en choisissant les événements "utiles à la théorie" et en faisant des corrections statistiques (l'ajustement de la théorie). Par comparaison avec le domaine classique de l'étude personne ne mesure pas la grandeur de la vitesse des particules directement dans les domaines relativistes des vitesses (aussi qu'il est impossible de mesurer directement la masse des particules, on ne peut mesurer que $e/m$, mais à l'aide de certaines interprétations théorétiques et à la graduation des appareils, qui leur corresponde). C'est pourquoi il est impossible dans la TRR de substituer les grandeurs ${\bf v}$ et $m$ par des grandeurs de calcul (!) de l'énergie et de l'impulsion et vérifier les lois de la conservation. Même si on définit certaines grandeurs numériques quasi-conservées d'une manière expérimentale, on pourra en dégager une formule littérale pour l'énergie et l'impulsion par des moyens différents avec des résultats aussi différents. Cependant même le mesurage des grandeurs numériques de l'énergie et de l'impulsion se font d'une manière indirecte (de nouveau il s'agit des interprétations théoriques).

Si un certain objet a une plus grande vitesse, que celle avec laquelle Votre main est capable de se mouvoir, il est naturel que Vous ne pouvez pas accélérer l’objet par la main; pourtant lors du mouvement contraire la vitesse de collision se définira par la somme des vitesses. Lors de la tentative d’accélérer des particules volant à peu près avec la vitesse de transfert des interactions électromagnétiques par le champ électromagnétique la situation sera analogique (l’efficacité de l’accélération ne sera pas haute); mais de nouveaux, lors d’une collision frontale des particules la vitesse sera additionnée d’une manière additive. Considérons une expérience mentale suivante. Supposons que trois observateurs sont situés dans les points A, B, et C sur la même ligne. Avec cela le point B se situe au milieu du segment AC. Mettons une source ponctuelle des signaux périodiques d’horloge O sur la perpendiculaire du milieu OB à la grande distance R=OB. Etant donné que tous les quatre points sont au repos réciproque, la méthode choisie de synchronisation peut être appliquée à nos trois points sur une ligne dans la physique classique aussi que dans la TRR. En attribuant à la distance R une grande valeur on peut garantir d’avance une exactitude donnée de la synchronisation du temps dans les points A, B et C. Supposons que les sources de radioactivité, capables d’émettre les particules avec la vitesse de 0.9c sont mises dans des capsules aux bouts du segment dans les points A et C. Avec la réception de premier signal d’horloge les bouchoirs des capsules s’ouvrent simultanément et les particules se précipitent les unes vers les autres (vers le point B). Dans le point B l’observateur verra, que l’espace entre deux flux contraires “se mangera” avec la vitesse 0.9c+0.9c=1.8c. Avec la même vitesse les particules se heurtant les unes contre les autres commenceront à “se saisir” (moyennant le choix de la longueur du segment AC on peut faire coïncider le moment de la collision avec l’avènement du deuxième signal d’horloge et garantir ainsi un calcul correct). C’est ce qu’on appelle la vitesse réelle de la collision des particules pour on observateur réel, tandis que la loi relativiste de l’addition des vitesses ne concerne pas ce cas-là. Il semble que la pluralité des chemins de la réaction dans la physique du micro-univers est fictive dans beaucoup de cas: la croie inébranlable des relativistes en relativités des quantités (et en nécessité des calculs selon des formules relativistes) les fait rapporter les réactions différentes ayant lieu dans les conditions différentes aux réactions ayant lieu avec les mêmes paramètres de la collision.

La question surgit: est-il possible de recevoir des vitesses des particules au-dessus de la lumière (il s’agit des particules ordinaires et pas des mythologiques “tachyons”), fixées par un observateur réel en état de repos? Répondons de la manière suivante: il est presque impossible que la vitesse des particules soit limitée par la vitesse de la lumière (plus exactement, dans le même style qu’au-dessus, par la vitesse doublée de la lumière). Cela serait possible seulement sous une série de conditions: premièrement de vraies particules élémentaires doivent exister dans la nature, deuxièmement, le monde entier doit être par excellence de nature électromagnétique et se soumettre strictement aux équations de Maxwell. Pourtant il est fondé à supposer que de vraies particules élémentaires existent et que dans la nature sauf les interactions électromagnétiques il y a d’autres sortes d’interactions (au minimum il y en a trois) et que les interactions électromagnétiques eux-mêmes ne sont pas décrites seulement par les équations de Maxwell dans la forme contemporaine (encore Ritz en parlait; souvenons-nous de plus du fait de la naissance de la mécanique des quanta). Dans le domaine pratique on peut supposer le suivant. Considérons les collisions sur des faisceaux raréfiés contraires des particules, volant avec à peu près la vitesse de la lumière. Lors d’une collision strictement frontale des vraies particules élémentaires (non-points) ayant les mêmes charges mais dont les masses différent considérablement (par exemple, d’un proton et d’un positron), les plus minuscules des particules, diffusées en $180^{\circ}$, ayant la vitesse entre à la vitesse triplée et doublée de la lumière doivent se révéler. Bien sûr que le moindre écart d’une collision strictement frontale suscite l’écart sensible de la vitesse de la quantité nommée, c’est pourquoi la probabilité de tels événements n’est pas haute (mais elle existe!). Il est encore plus difficile (pourtant dans l‘Univers cela est possible) d’accomplir une itération réitérée de cette procédure (l’analogie de l’accélération de Fermi).

Lors de l'étude des collisions avec des particules "au repos" surgit la question suivante: où a-t-on trouvé autant de particules au repos? Et comment ce fait est-il vérifié (comme cela peut être lié avec la définition de l'angle de la collision et de la dispersion, des paramètres de pointage etc.)?

Faisons attention que l'énergie, reçue par une particule en unité de temps lors de son passage du domaine du champ électromagnétique, s'inscrit par le même formule $(dE_{cin}/dt)=e{\bf Ev}$ et dans le cas classiques et dans le cas relativiste [17]. C'est une des causes des calculs des accélérateurs "proches au succès"? Tout simplement les mêmes "événements" et les mêmes indications des appareils se comparent aux échelles différentes (plus précisément par les différentes combinaisons des symboles littéraux) de l'énergie dans les cas classique et relativiste.

La TRR n'a aucune priorité dans l'explication de l'existence de l'impulsion d’un photon. N'importe quelle particule, y compris un photon, est détectée lors de l'interaction avec des autres particules, pratiquement lors du transfert de l'impulsion. Selon les idées contemporaines les expériences de Lebedev sur le mesurage de la pression de la lumière représentent la base expérimentale de la confirmation de l'existence de l'impulsion d’un photon. La formule littérale de l'énergie cinétique d'un photon peut être déduite sans difficultés de la formule générale $dE={\bf v}d{\bf p}$ (des équations générales du mouvement). Si on prend en compte qu'un photon a la vitesse de la lumière $v=c$, après l'intégration nous recevrons $E=cp$ sans faire appel aux concepts de la TRR. Pourtant cette formule n'est vraie que pour la lumière dans le vide (pas dans le milieu).

La déduction semi-classique de la formule d’Einstein [40] n’est pas suffisante non plus: $\Delta E = \Delta mc^2$. Premièrement, le concept du centre des masses dans la TRR est contradictoire. Deuxièmement, on ne sait pourquoi, mais dans la TRR on se souvient des ondes acoustiques quand elles n’ont pas d’importance (cela détourne l’attention des paradoxes évidents), bien que dans cette situation-là elles jouent un certain rôle. Supposons qu'aux coins d'un tuyau homogène d'une longueur $L$ et d'une masse $M$ (Figure 4.11) il y a des corps $A$ et $B$ de la masse d'une valeur négligeable.

Figure 4.11: Le lien entre la masse de l'émission et son énergie.
\begin{figure}\begin{center}\epsfxsize =11.3truecm
\epsfbox{fig7dyn2.eps}\end{center}\end{figure}

Prenons par exemple des couches mono-moléculaires de la même substance. Supposons que les atomes de la coucha $A$ sont en état excité. Dans [40] l'auteur étudie le "processus circulaire" suivant. Au début le corps $A$ émit une courte photo-impulsion dans la direction du corps $B$. L'auteur affirme, que le tuyau comme un tout, se mettra en mouvement. Cela n'est pas vrai. Supposons que la longueur $L=1$ cm. L'impulsion émise fera le corps $A$ se courber et bouger à une distance, comparable à une distance moléculaire, des molécules du tuyau, le tenant. La force élastique, aspirant à faire revenir l'équilibre perdu, apparaîtra. En effet un système complexe des oscillations longitudinales et transversales commencera à se répandre dans le tuyau. Perdant que la lumière atteint le corps $B$ ne se répandront plus qu'aux $10^{-5}$ cm (puisque $v_s\ll c$). Le corps $B$ subira le processus pareil. De cette manière-là le tuyau oscillant s'allongera dans les directions contraires du centre $O$ (dans la direction du corps $A$ à une plus grande distance) jusqu'à ce que les ondes acoustiques ne s'éteignent et l'équilibre ne s'installe. Mais ce processus réel et complexe n'a pas une si grande importance. Puis le corps $B$ avec l'énergie absorbée [40] est mis en contact avec le corps $A$ à l'air des forces intérieures, le corps $B$ rend l'énergie au corps $A$ et revient à sa place (et puis on écrit des symboles mathématiques). Mais attendez! Troisièmement, par quel moyen le corps $B$ a pu transmettre l'énergie électromagnétique de l'excitation sans le transfert de l'impulsion? De plus, cela ne pouvait être qu'une photo-impulsion (sinon, selon la deuxième loi de la thermodynamique pas toute l'énergie passerait au corps $A$). Mais dans ce cas il s'agit tout simplement du transfert contraire mutuel de l’impulsion à l'aide de la lumière et aucune conclusion importante n'en provient. Ce problème est pareil au problème classique sur le lancement d'une balle d'une personne à une autre dans une barque. La balle possède une masse et lorsqu'elle prend son vol elle possède une énergie et une impulsion qui ne sont pas égales à zéro. Bien que la grandeur de la masse entre dans la formule de l'impulsion et de l'énergie cinétique, aucune conclusion universelle n'en provient. Le résultat auquel aspirent les auteurs de [40], peut être reçu d'une manière plus simple. De la formule générale $dE={\bf v}d{\bf P}$ pour la lumière recevons $\Delta E=c\Delta P$. Si on introduit la masse d’un photon en mouvement par un moyen classique $P=mv$, de $v=c=const$ l'unique variante possible $\Delta P=c\Delta m$. En définitive, sans des idées mentales de la TRR nous recevons $\Delta E=c^2\Delta m$. Pourtant, quatrièmement, ce résultat (sans dépendance du moyen de sa déduction) ne se rapport qu'à l'énergie électromagnétique (au moins on n'a pas de preuves de l'universalité du résultat).

La procédure de la quête des résolutions dans la TRR par moyen du développement sur $v/c$ et l'enregistrement de la grandeur finale des membres d'une série peut être fausse dans la cas générale. Des membres omis peuvent changer la forme du résultat d'une manière visible. Le domaine de l'application du résultat approximatif dans le temps peut être si étroit que le résultat approximatif n'aura ni importance théorétique, ni pratique (mais comment le découvrir sans connaître le comportement de la vraie fonction?). La possibilité de déduire du résultat approximatif le résultat moyen est aussi douteuse. L'exemple banal: on pourrait penser que formellement dans la force de Lorentz on peut négliger la force magnétique, contenant $v/c$. Pourtant cela n'est pas vrai: dans la limite classique au lieu de la dérive moyenne réelle d'une particule avec la vitesse constante perpendiculairement à tous les deux champs, on aura un mouvement accéléré le long du champ ${\bf E}$. Dans la limite relativiste [17] la vitesse s'accroît aussi le plus vite dans la direction de $[{\bf E}\times {\bf B}]$. C'est pourquoi, en apparence, les fonctions approximatives de Lagrange, construites jusqu'à un certain membre sur $v/c$ dans la TRR, peuvent causer des difficultés, et la construction de la fonction stricte de Lagrange dans la TRR est problématique par principe. L'auto-accélération des charges sous l'influence de la réaction de l'émission est une manifestation de l'étroitesse de la TRR. L'émission se détermine dans une zone éloignée et ne doit pas dépendre des processus, qui s'opèrent à l'échelle des dimensions des particules élémentaires: et seule la surestimation de la rigueur de la TRR fait prendre les particules élémentaires pour les particules ponctuelles.

Bien que cette remarque méthodique se rapporte premièrement à la cinématique, elle concerne aussi la TRG et la dynamique relativiste. Dans le [17] l'auteur pose le problème: déterminer le mouvement du système en question - le mouvement avec l'accélération constante par rapport à son propre système inertiel (c'est-à-dire au repos dans chaque moment de temps par rapport au système en question). Un lecteur peut poser une question tout à fait naturelle: si le mouvement est le mouvement avec l'accélération constante par rapport à un système inertiel peut être non "équivalent" par rapport aux autres systèmes inertiels? Dommage mais la situation dans la TRR est la même (on a de la chance que la TRR n'utilise presque pas les dérivés-chefs, excepté la description de l'émission, sinon auxquelles "fioritures" se heurterions-nous encore?) Et que faire avec le principe de l'équivalence? Dans un système inertiel il existe l'équivalence à un champ gravitationnel (constant) et dans un autre système inertiel dans le même point de l'espace, le champ gravitationnel (physique!) a changé. Avec quelle vitesse doit voler l'observateur pour qu'il "croie voir" que les pierres sur la terre prennent l'envol comme des ballons d'air? Et si nous fixons un dynamomètre sur une certaine fusée équivalente de cette manière-là et suspendons un chargement à un ressort, si les observateurs en mouvement différents (mais avec les vitesses constantes) verront l'aiguille du dynamomètre montrer des indices différents?

Rappelons-nous le célèbre paradoxe d’un sous-marin (la TRR s’est heurtée à la nécessité de faire le choix comme l’âne de Bouridan devant deux meules de foin): du point de vue de l’observateur se trouvant sur la surface de la Terre une barque allant doit se noyer à cause de la croissance de la densité suivi par la réduction de sa longueur, tandis que du point de vue de l’observateur dans la barque elle doit au contraire monter à la surface à cause de la croissance de la densité de l’eau. Il fallait prononcer “une formule magique quasi-scientifique” et relativistes ont décidé de se référer tantôt au processus de l’accélération tantôt à la courbure de l’espace dans le champ gravitationnel renforcé c’est-à-dire se référer de nouveau à la TRG. Apparemment pour la TRR on peut l’inscrire à la forme d’une épitaphe: “s’efforçant à embrasser ce qu’on ne peut pas embrasser, elle n’avait même pas son propre objet d’études”. Pour faire claire que ce cas ne concerne point la gravitation reformulons ce paradoxe d’une autre manière. Supposons que dans les conditions terrestres tout à fait ordinaires (c’est-à-dire dans le champ gravitationnel faible!) un sous-marin ordinaire a fait à une vitesse permanente (pas relativiste!) sur une profondeur donnée et fixée (dans l’eau transparente) un chemin entre deux bateaux. C’est la REPONSE et elle est déjà connue “des points de vue de tous les deux observateurs”! Et maintenant la question: que du point de vue de la TRR devons affirmer les observateurs différents relativistes en mouvement? Etant donné que le domaine d’étude de la TRR a été limité par les échanges d’impulsions de la lumière, alors il est naturel que les observateurs relativistes doivent remarquer à l’aide de la lumière tout ce que la TRR affirme. La question est: quand ils “le” verront? Evidemment juste au moment où la lumière émise au moment de “l’événement” les atteindra (comme les relativistes affirmes, la pluralité des liens n’existe pas). Supposons que dans 20 milliards d’années (quand peut-être il n’ y aurait plus ni barques ni bateaux) deux observateurs (dans des vaisseaux en mouvement) regarderont notre sous-marin de la distance de 20 milliards de l’années-lumière et capteront ces impulsions qui leur montreront un événement éloigné. L’un des observateur se mouvra dans le sens du sous-marin à la vitesse presque égale à celle de la lumière, l’autre se mouvra contre le sens du sous-marin. Il se trouve que selon la TRR les opinions (s’est la barque noyée ou est-elle monté à la surface?) de ces deux observateurs doivent différer (à la suive des résultat différent de l’addition des vitesses). De plus ils ne doivent même pas croire à un vaisseau cosmique étant arrivé derrière (avec un petit retard pour ne pas déranger en vain le sommeil relativiste) avec le message selon lequel la barque a heureusement accompli une mission à la PROFONDEUR FIXEE. Qu’il est bon de croire les relativistes: peut-il arrivé que Vasilii Ivanovitch (Tchapaev) ne s’est pas encore noyé si un correct extra-terrestre, volant au temps et avec la vitesse correctement choisis jette un coup d’œil sur cet événement éloigné.

Bien sur que toutes les pertes des caractéristiques objectives de la TRR (certaines ne sont notées que pour compléter cette description) ne semblent que des "ajustements estudiantins" par comparaison avec les problèmes et les contradictions logiques de la TRR. Le cliché répandu par certains relativistes selon lequel la TRR est tout simplement la nouvelle géométrie et c’est pourquoi donc elle est quasi cohérente. Apparemment ils se seraient trompés dans le choix de la profession s’il n’avaient pas senti même l’objet de l’étude de la physique (la physique s’occupe de l’étude des causes des phénomènes et des mécanismes concrets influençant directement des phénomènes étudiés). Evidemment que pour la déduction de la solution mathématique on utilise souvent dans la physique les transformations des coordonnées (par exemple les transformations conformes). Notamment, on peut utiliser la transformation de Lorentz (mais à la vitesse du son!) pour résoudre certains problèmes de l’acoustique (notamment parce qu’ils seront invariantes). Pourtant si quelqu’un insiste que si les solutions sont vraies, tout l’Univers se transformera du domaine extérieur en domaine intérieur du cercle, tous les physiciens comprendront que des opinions pareilles n’ont rien de commun avec la science. Si un autre Trèèèès Graaaand Saaaavant Relativiste dit que tout l’Univers s’est serré lorsqu’il allait à la boulangerie, un tas de “sous-fifres” confirmeront cette absurdité (il faut croire qu’on n’a pas ménagé les dons à ces pauvres: on ne leur a pas lu le conte “Le Roi Nu”).

Du point de vue de l'auteur l'attitude la plus logique est la considération des résultats de la dynamique relativiste et de l'électrodynamique comme approximatifs à l'exactitude de l'expérience. Il ne faut pas surestimer les possibilités des méthodes purement théorétiques et inonder la physique des universalismes. C'est juste pour cette raison et pour la raison de l'argumentation insuffisante des expériences relativistes l'auteur n'essaie pas de proposer des théories alternatives. A nos jours la théorie doit analyser et généraliser les expériences faites dans le domaine des grandes vitesses.


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Sergey N. Artekha