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"Défendez un pauvre éther"

Faisons une remarque auxiliaire concernent l'éther. A vrai dire l'invention d'autres concepts outre "le vide absolu" (privé des particularités physiques) comme "la vacuité physique" (ayant des particularités physiques) n'est pas juste par rapport aux autres savants précédents (un plagiat) parce que le terme désignant des concepts pareils existe déjà: "l'éther". Mais l'éther avait un but suivant: expliquer d'après un modèle simple et concret toutes les expériences ou "basculer dans l'oubli". Le développement de la physique a introduit une autre pratique (souvenons-nous du dualisme de la lumière, de la mécanique quantique etc.): on a commencé à tout simplement conditionner des particularités contradictoires des objets et des phénomènes physiques comme des faits sans explications, ni modèle réel et évident. Par exemple, il existe le modèle du liquide binaire pour la description des particularités contradictoires de l'hélium superfluide (le cours sans viscosité à travers un capillaire et la viscosité lors de la rotation). La réalité est loin du modèle, mais le modèle est en vigueur (il est utile). Et seulement de la théorie de l'éther les relativistes exigeaient beaucoup plus. Pourtant qu'en réalité pour tous les modèles de l'éther, déclarés irréels par les relativistes, existaient des analogies dans la nature (et à quoi bon exiger plus d'un modèle?). Par exemple, il n'y a rien d'étonnant que la vitesse de la lumière peut être la même lors des changements de la densité de l'éther: aussi la vitesse du son dans l’air peut être la même lors des changements de la densité de l'air (si $T=constant$). Il n'y a rien de pervers dans le fait que la densité de l'éther peut s'accroître beaucoup (en 60000 fois) à proximité de la surface de la Terre par rapport à l'espace: la densité de l'atmosphère s’accroît à beaucoup d'ordres plus. Le modèle de Stoxe est un modèle sans atmosphère. Cela n'est pas lié avec des difficultés mathématiques du modèle (la supposition du mouvement irrationnel incompressible): la résolution réelle décrivant la nature peut être proche à celle trouvée par Stoxe (c'est qu'il est plus difficile de trouver par un moyen mathématique la vraie résolution stricte d'une équation non linéaire dans des dérivés particuliers sans simplification). A vrai dire, à nos jours il existe des conceptions de l'éther assez développées (par exemple, [1,8]).

Passons maintenant aux autres questions concrètes et commentons brièvement certaines expériences connues. L'aberration dans l'espace vide sans la TRR a été analysée ci-dessus des poins de vue corpusculaire et ondulatoire? Le résultat sera analogique et du point de vue de l'éther immobile. L'engagement absolu de l'éther par le milieu n'est pas claire lors de la réduction graduelle de la densité du milieu (par exemple, dans des gaz). C'est pourquoi personne (excepté les relativistes) n'a pris au sérieux l'hypothèse de l'engagement absolu de l'éther. Même si l'éther s'engageait complètement par des corps liquides et solides, l'analyse ne serait pas simple: il serait nécessaire d'élaborer la théorie d'une couche intermédiaire entre des corps et la théorie d'une couche frontaler d'éther pour des gaz en dépendance de leur densité (par exemple dans l'expériences de Michelson il ne s'agirait de la vitesse orbitale de la Terre égale à 30 km/sec). Pourtant la physique a choisi une autre voie et déjà Frenel a introduit le coefficient, montrant qu'on ne peut supposer que l'engagement partiel de l'éther dans des milieux optiquement transparents. Il ne change presque pas (avec l'exactitude atteinte) l'aberration lors du remplissage d'un tuyau par l'eau, ce qui a été montré par Frenel lui-même (notons que lors de l'observation non verticale il faut prendre en compte l'angle de la réfraction des rayons dans les milieux du remplissage, mais en général toutes ces questions ne se rapportent déjà à la théorie de l'aberration, mais à la théorie de la réfraction). Le seul cas où il est valable de parler de l'engagement absolu de l'éther c'est celui des milieux optiquement adiaphanes (des métaux). Peut-être Hertz le sentait intuitivement, parce que dès le début il a renoncé à considérer des phénomènes optiques du points de vue de l'électrodynamique (c'est pourquoi l'utilisation des relativistes de sa théorie pour des diélectriques à but de la déconsidération n'est pas valable).

L'expérience de Troiton et de Noble ne contredit pas au principe de la relativité de Galilée dans l’espace vide. En général, toutes les expériences avec des diélectriques ne contredisent pas au principe de la relativité de Galilée, parce que la lumière passe une partie de son trajet (plutôt de son champ) dans le vide entre des atomes, et une autre partie du trajet la lumière s'absorbe et s’émit de nouveau par des atomes. Il est toujours possible pour la théorie de l'éther partiellement engagé (s'il n'y a pas d'une protection métallique) de déterminer à une exactitude pratique le coefficient de l'augmentation de Frenel, confirmé pour des expériences du premier et du deuxième degrés (à vrai dire, souvent l'exactitude n'est pas haute et en pratique on introduit plus d'un coefficient "d'ajustement"). L'expérience de Roiland a en fait prouvé que du point de vue de la théorie de l'éther, il s’engage complètement par un métal, et du point de vue du principe de la relativité de Galilée l'expérience a prouvé l'équivalence des charges en mouvement au courant. Dans les expériences (de Rongeon) d'Eihenvald et de Vilson le coefficient de Frenel de l'engagement dans des diélectriques a été au fait reçu.


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Sergey N. Artekha